Un mois avant la fin anticipée du mandat du cabinet Orécharski, le thème de la diversification de l’approvisionnement énergétique a été mis à jour à Zagreb lors d’une réunion du Conseil bulgaro-croate de coopération économique où l’on a discuté des possibilités d’approvisionnement de la Bulgarie en gaz croate du nord de la mer Adriatique à partir de 2017 et de relier les systèmes de gaz de la Croatie et de la Bulgarie à travers la Serbie ou la Hongrie et la Roumanie. Vu le grand intérêt de la Bulgarie pour le projet croate de gaz naturel liquéfié, il a été convenu de le présenter dans les prochaines semaines à Sofia. Cela se fera probablement après la démission du gouvernement bulgare, mais les conventions de Zagreb entre les deux Etats membres de l’UE resteront en vigueur car elles font partie de la politique européenne de diversification des sources et des voies d’approvisionnement en gaz. D’ailleurs, après le cabinet Orécharski, la Bulgarie aura un gouvernement transitoire nommé par le président Rossen Plevnéliev, qui lors de ses entretiens avec son homologue croate Ivo Josipovic avait manifesté encore en octobre dernier son intérêt pour les sujets abordés à Zagreb. Le futur gouvernement va également hériter du cabinet actuel les conventions avec un autre pays membre de l’UE - Chypre. Il y a à peine un mois, le ministre des Affaires étrangères Kristian Viguénin discutait avec son homologue chypriote Ioannis Kasoulides du rôle important de Chypre dans le projet d’acheminement de gaz jusqu’aux terminaux de gaz naturel liquéfié en Grèce. Il s’agit du futur corridor gazier Nord-Sud, à travers lequel la Roumanie et l’Europe centrale pourraient être approvisionnées en gaz via la Bulgarie. Le gouvernement actuel bulgare s’en va très bientôt, mais la politique de la Bulgarie concernant la diversification de l’approvisionnement énergétique reste. Parce que dans le pays il n’y a pas de force politique importante qui s’y oppose sérieusement.
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