La photographie est sa passion, mais pas son métier…C’est aussi une façon de décompresser et de chasser le stress du quotidien en immortalisant des images à la faveur de ses voyages dans le pays. Attiré au début pas les passages, petit à petit il dirige son objectif vers les traditions et le folklore en general. De nos jorus, Assen Vélikov  est connu comme le photographe qui capte la magie des us et coutumes bulgares…

Ses clichés donnent une image différente de la Bulgarie et c’est ce qui attire les regards…

Comment présenter l’exception culturelle bulgare dans un monde de plus en plus formaté et uniformisé ?

„ J’ai un faible pour les portraits volés, spontanés, inattendus, pris à l’insu même du sujet…Mais j’aime aussi les rituels de nos traditions, celles de la cueillette des roses, de la Théophanie, les différentes reconstitutions historiques…C’est une véritable tentation et je ne m’en lasse pas “, nous confie le photographe que nous avons déjà présenté sur Radio Bulgarie ICI :

Quant à son attachement au folklore, il date d’une session à l’occasion de la Saint Lazare à Bistritsa. Au fur et à mesure qu’il développe ce sujet, il revient aussi à son premier amour, les portraits de femmes, enfants, de familles entières en tenues traditionnelles, un rayonnement de l’esprit national bulgare…

Il croise aussi sur son chemin des Bulgares de Béssarabie, peuplant les territoires actuels de la Moldavie et l’Ukraine. Ainsi voit le jour son exposition « la Bessarabie, source de beauté et de patriotisme ». Les Bulgares de Bessarabie vivent avec la nostalgie de leur pas d’origine », nous confie l’artiste dont voici quelques unes de ses photos sur le sujet :