Les spécialistes des maladies pulmonaires des cabinets pré-hospitaliers demandent à être traités comme des soignants en première ligne, à cause de leur travail exposé à des risques, suite à l’auscultation de dizaines de patients avec des complications dues au Covid-19. Ils insistent à recevoir une prime mensuelle de 500 euros, comme les soignants en première ligne. "Nous sommes 50-60 pneumologues qui prennent en charge de nombreux patients", indiquent des représentants de l'Ordre des pneumologues. Leurs collègues qui travaillent dans les hôpitaux sont considérés comme des soignants en premier ligne.