La corruption est bien ancrée dans le secteur de la santé publique. Tel est l'avis de 60% des Bulgares qui ont été confrontés à des pratiques corruptives qu'ils ont signalées. L'étude a été réalisée dans la deuxième quinzaine du mois de mai par l'Institut "Global Metrics", à la demande de l'Institut bulgare des initiatives juridiques. Selon les résultats de l'enquête, la pandémie du Covid-19 a mis en relief de nombreux problèmes dont les soins insuffisants pour les malades chroniques, la prévention inexistante, l'absence de soins post-hospitaliers, un accès limité aux spécialistes, des dossiers médicaux faussés...Autre problème important, l'absence de soignants et la pénurie d'infrastructures dans certains établissements de soins.
La moitié des personnes interrogées reconnaissent ne pas avoir fréquenté un hôpital au cours des 5 dernières années. Ils estiment qu'on est mieux accueilli et pris en charge dans les établissements privés que publics. D'où le haut pourcentage de Bulgares, 72%, qui préféreraient être soignés dans des cliniques privées, à condition bien entendu d'en avoir les moyens.
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