Les artistes peintres font partie d’une espèce rare. Ils vivent au gré de leurs envies et de leur perception du monde, brisant le moule des conventions. Il y a 30 ans, en 1992, les arts plastiques bulgares ont perdu un de leurs grands talents, le peintre Dimitar Kazakov, alias Néron (1933-1992) qui travaille comme affichiste, peintre dans une usine d’armement, avant de se destiner à la création d’artiste libre. Une grande partie de ses œuvres sont interdites par la Bulgarie socialiste de l’époque alors il décide de tenter sa chance à l’étranger en organisant des expositions en Grèce, Suisse, Autriche, USA, France, Espagne, Japon, Espagne, Koweit. Et ses toiles s’arrachent comme des petits pains …
En 1981, Dimitar Kazakov doit abandonner la peinture pour cause d’allergie sévère à la peinture à l’huile. Mais ce n’est que temporaire car il redécouvre l’art de l’aquarelle avant de s’essayer comme sculpteur. En 59 ans, il lègue aux futures générations 15 000 toiles, gravures, dessins, petites sculptures et de la céramique peinte à la main.
Du 18 au 22 septembre, Plovdiv accueille la 10e édition de "Kapana Fest", comme annoncé par l'équipe du festival. "Kapana Fest" c'est un festival au cœur de la ville, qui insuffle vie à des espaces urbains oubliés et peu fréquentés du quartier "Kapana". Des..
10 ans et 18 000 photos publiées, tel est le bilan d’Ivan Chichiev et du regard qu’il a porté sur la décennie écoulée. Des années pendant lesquelles il immortalise des instants, des visages et des lieux symboliques de la capitale bulgare. La page..
Du 19 septembre au 17 octobre, l'Institut culturel bulgare à Paris fait sa rentrée en organisant l'exposition collective "Enfances. Le Centre Christo et Jeanne-Claude à Gabrovo", consacrée au 90e anniversaire de l'artiste d'origine bulgare. Né à..