Le parti “Poursuivons le changement” a déposé à l'Assemblée nationale un projet de loi anti-corruption, comme annoncé par le président de la commission constitutionnelle, Milen Matéev qui a donné lecture d'une déclaration disant que le projet était longtemps resté en souffrance à cause de l'ancien partenaire coalisé, en la personne d'Il y a un tel peuple. "Leurs revendications étaient dictées par la crainte de certaines révélations sur des affaires patrimoniales, des intérêts et des dépendances", a indiqué Matéev. "Poursuivons le changement" propose de créer une nouvelle autorité indépendante de lutte contre la corruption, différente de la commission existante qui est contrôlée par GERB. "Ainsi, il sera possible d'enquêter sur des affaires de corruption à tous les niveaux, tout en mettant en place des mécanismes de sécurité pour éviter que la future autorité ne devienne une structure répressive".
La réaction d'ITP n'a pas tardé. Le chef du groupe parlementaire, Tochko Yordanov a déclaré que Kiril Pétkov avait essayé, par des modifications à la loi sur la commission anti-corruption, de créer une structure parallèle qui serait présidée par un procureur de la trempe d'Ivan Guéchev. Le député a cité les propos de Pétkov lors d'un conseil de coalition: " Je ne fais confiance ni à l'Agence d'Etat à la sécurité nationale, ni aux services, leurs chefs ne sont pas les miens, mais ceux du président. Moi, j'ai besoin d'une autorité d'investigation et d'un parquet parallèle".
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