Les opérations de maintenance annuelles du gazoduc "Nord Stream 1", principale voie d'alimentation reliant la Russie à l'Europe occidentale, débutent ce lundi pour une durée de dix jours avec une interruption des livraisons de gaz que gouvernements, marchés et entreprises craignent de voir se prolonger du fait de la guerre en Ukraine. Rappelons que la Russie a réduit le mois dernier de 40% les flux transitant par le gazoduc vers l'Allemagne, invoquant le retard dans la réparation d'équipements par la société Siemens Energy.
"Le gouvernement français se prépare à une coupure totale des approvisionnements en gaz russe, scénario jugé le plus probable dans ses projections actuelles", a déclaré dimanche le ministre des Finances Bruno Le Maire. Avec environ 17% de ses approvisionnements en provenance de Russie, la France est moins dépendante du gaz russe que plusieurs de ses voisins, mais le gouvernement a néanmoins élaboré des plans d'urgence pour faire face à un tarissement des livraisons dans le sillage de la crise provoquée par l'invasion de l'Ukraine. "Je pense que la rupture totale de l'approvisionnement de gaz venu de Russie est une vraie possibilité (...) et nous devons nous préparer à cette option", a dit Bruno Le Maire en marge d'une conférence aux 22e Rencontres économiques d'Aix-en-Provence. "Je pense qu'il serait complètement irresponsable d'écarter cette option."
Le ministère des Affaires étrangères a déclaré suivre avec une grande préoccupation les derniers événements au Proche-Orient et l'escalade des tensions entre Israël et l'Iran. "La République de Bulgarie est préoccupée par toute action menant à un risque..
Romgaz a retiré sa plainte contre Greenpeace Roumanie Le 11 juin, juste avant la première audience d’un procès visant à dissoudre Greenpeace Roumanie, Romgaz a retiré sa plainte au tribunal contre les militants écologistes, annonce..
Selon le dernier sondage de l'Institut "SOVA HARRIS", la campagne d'information et de sensibilisation à l'euro du gouvernement serait réussie, comme rapporté par l'agence BTA. 37.2% des Bulgares estiment encore que l'avenir du pays ne passe pas..