Près de six mois après le début de l’invasion, le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres doit rencontrer ce jeudi à Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine, les présidents ukrainien Volodymyr Zelensky et turc Recep Tayyip Erdogan, dont le pays tente depuis des mois de s’imposer comme un médiateur central dans cette guerre. Et selon l’agence de presse russe Interfax, l’issue politique du conflit doit notamment être abordée.
Interfax écrit ainsi que les trois hommes « vont discuter de mesures diplomatiques pouvant être prises pour résoudre la crise », notamment en s’appuyant sur les « mécanismes » mis en place pour permettre de relancer les exportations de grain ukrainien en direction du reste du monde, sujet qui sera lui aussi évoqué en vue d’être perfectionné et augmenté. « Je n’ai aucun doute sur le fait que la question de la centrale nucléaire de Zaporijjia et d’autres seront également abordées », a ajouté le porte-parole de l’ONU Stephane Dujarric.
Plusieurs attaques ont ciblé ces derniers jours la Crimée, annexée par Vladimir Poutine en 2014. Une région ultra-stratégique et hautement symbolique. A ce propos, l'Ukraine a menacé mercredi 17 août de démanteler le pont de Kertch, construit à grands frais par Moscou pour connecter la Russie à la péninsule annexée de Crimée, où ont eu lieu plusieurs explosions sur des bases militaires russes. "Ce pont est une structure illégale et l'Ukraine n'a pas donné sa permission pour sa construction. Il porte préjudice à l'écologie de la péninsule et doit donc être démantelé. Peu importe comment : volontairement ou non", a écrit sur Telegram le conseiller de la présidence ukrainienne Mikhaïlo Podoliak.
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