Du 23 au 27 septembre, les habitants de ces régions perdues par Kiev sont appelés aux urnes pour dire ou non leur envie d’être rattachés à la Russie. Les résultats de ces votes « organisés à la hâte, ni justes ni équitables, auxquels les médias et les partis politiques ukrainiens ne peuvent pas participer et pour lesquels les observateurs internationaux viennent des partis européens de l’extrême-droite complaisante » sont connus d’avance. Ces référendums ont en effet été qualifiés de « parodie », de « fictifs » ou encore de « simulacres » par différents chefs d’Etat, parmi lesquels Emmanuel Macron. Ces scrutins ne sont néanmoins pas anodins et leur précipitation traduit une stratégie militaire de Moscou. « Ce n’est pas du bluff, a menacé le chef du Kremlin dans son allocution mercredi. Nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple. Je dis bien tous les moyens »
Dans un entretien accordé à CNN, le président français Emmanuel Macron a défendu sa volonté de continuer à dialoguer avec son homologue russe et s'est dit optimiste sur l'idée de convaincre l'Inde et la Chine de condamner la Russie. "Le leader qui a décidé d’aller en guerre, et qui a choisi l’escalade : c’est Vladimir Poutine". Lors d'un séjour new-yorkais pour l'Assemblée générale des Nations unies, marqué par la guerre en Ukraine et les annonces du président russe sur le conflit, Emmanuel Macron a accordé un entretien à la chaîne américaine CNN. Le chef de l'État français a notamment assuré que son homologue russe était aujourd'hui "beaucoup plus sous pression" qu'au début de l'offensive en raison de la résistance ukrainienne, mais également des sanctions prises par les instances internationales.
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov quitte la salle après avoir pris la parole lors de la réunion du Conseil de sécurité sur l’invasion russe de l’Ukraine aux Nations Unies le 22 septembre 2022 à New York. Auparavant, le premier, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a appelé la communauté internationale à contraindre le président russe Vladimir Poutine à rendre des comptes pour son invasion de l’Ukraine. « On ne peut pas laisser le président Poutine s’en tirer comme ça », a-t-il déclaré, lors de cette réunion convoquée par la présidence française du Conseil de sécurité et qui avait pour thème la situation en Ukraine et l’« impunité » des crimes commis depuis l’invasion du pays par la Russie en février. Son homologue russe Sergueï Lavrov, présent dans la salle du Conseil où il a également prononcé un discours, ne s’est cependant pas installé à la même table que les autres ministres pour écouter leurs discours, se faisant remplacer par un adjoint.
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