La Russie a accusé jeudi les États-Unis d'avoir orchestré l'attaque présumée de drones ukrainiens contre le Kremlin qu'elle affirme avoir déjouée la veille, "un mensonge" selon Washington. La Russie a aussi annoncé "se réserver le droit de prendre des mesures de représailles où et quand elle le jugera approprié". "Washington doit comprendre que nous le savons." C’est en ces termes que le porte-parole du gouvernement russe, Dmitri Peskov, a directement accusé les États-Unis d’avoir commandité l'attaque présumée de drones ukrainiens contre le Kremlin, le jeudi 4 mai. Moscou affirme avoir déjoué cette attaque la veille, mais Kiev continue de nier toute implication. "Les efforts de Kiev et de Washington pour nier toute responsabilité dans l'attaque présumée sont totalement ridicules. Les décisions concernant de telles attaques ne sont pas prises à Kiev, mais à Washington. Kiev ne fait qu'appliquer ce qu'on lui demande", a affirmé Dmitri Peskov à la presse. En réaction, les Etats-Unis ont accusé le Kremlin de "mentir, purement et simplement" sur l'implication américaine dans l’attaque présumée de drone. "Nous n'avons rien à voir dans cette affaire", a déclaré sur MSNBC John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche.
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell a mis, quant à lui, en garde Moscou contre toute utilisation de l'attaque présumée contre le Kremlin avec des drones comme un prétexte pour intensifier son offensive militaire en Ukraine. "Nous appelons la Russie à ne pas utiliser cette attaque présumée comme une excuse pour poursuivre l'escalade de la guerre", a-t-il déclaré avant une réunion à Bruxelles.
Plusieurs explosions ont été entendues ce jeudi à Kiev, au lendemain d'une nuit d'attaques de drones sur la capitale ukrainienne, ont rapporté des journalistes de l'AFP, qui ont vu un drone que la défense anti-aérienne tentait d'abattre, tandis que l'administration militaire de Kiev indiquait que "la défense aérienne est en action".
Le plus petit parti représenté au parlement est en décomposition, comme annoncé par son fondateur, Yvelin Mikhaïlov, après le vote à l'unanimité contre le projet de gouvernement de GERB-UFD. Aux dires de Mikhaïlov, si les députés n'arrivent pas à ses..
"Il est évident que la crise politique se poursuit et que pour la résoudre il faudrait tourner le dos aux intérêts personnels et à ceux des partis politiques, mais il faut également de la pertinence ". C’est ce qu’a déclaré le président Roumen..
Au terme d’un débat houleux, le parlement a rejeté le gouvernement proposé par GERB-UFD et la candidature de Rossen Jélyazkov au poste de premier ministre. Le projet de gouvernement a été appuyé par 98 députés, 138 ont voté contre, deux se sont..
Le président Roumen Radev a rencontré à Athènes le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis pour étudier, entre autres, l'accélération des..
"La question n'est pas de savoir si l'Ukraine entrera dans l'OTAN, mais quand. La réponse dépend des champs de bataille et de l'aptitude à établir une paix..
"Le gouvernement intérimaire a rempli avec succès sa mission en organisant des élections sincères pour l'Assemblée nationale et le Parlement européen...