Après Lugano l'année dernière, Londres accueille ce 21 juin la 2e conférence internationale pour la reconstruction de l'Ukraine. Les représentants de 61 pays, institutions financières et organisations multilatérales sont attendus, dont la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le secrétaire d'Etat américain, Antony Blinken, ou la ministre française de l'Europe et des Affaires étrangères, Catherine Colonna, ainsi que des dirigeants d'entreprises désireux de participer à l'effort de reconstruction. Plus d'un millier de personnes seront réunies sur deux jours. Les besoins sont énormes : à ce stade, il faudra compter entre 400 milliards et 1.000 milliards de dollars pour rebâtir et réparer. Les besoins immédiats ont été évalués par la Banque mondiale à 14 milliards. A cette occasion, un nouveau paquet d'aides en provenance du G7 doit être annoncé, dont des prêts garantis de 3 milliards de dollars de la Banque mondiale. Ce financement doit assurer dans l'immédiat le fonctionnement des services publics vitaux, comme le fonctionnement des écoles et des hôpitaux. "La question du jour est de savoir comment nous pouvons soutenir cela - un redressement accéléré et aider l'Ukraine à déployer son potentiel. Nous devons mettre en place un partenariat de gouvernements, d'institutions financières internationales, de dirigeants d'entreprises pour que cela ait lieu", doit déclarer le premier ministre Rishi Sunak, selon des extraits de son discours diffusé par avance. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky sera présent à distance par vidéo.
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