Le président Roumen Radev s'est posé en défenseur du président de l'Agence d’État à la sécurité nationale /AESN/, Plamen Tontchev dont le premier ministre, Nikolay Denkov a demandé la démission, à cause du rapport de l'AESN qui a conduit à la suppression des machines à voter lors du premier tour des municipales.
"Un pouvoir est puissant lorsqu'il respecte les lois plutôt que de chercher à les dominer. J'ai écouté attentivement les arguments du premier ministre. La loi sur l'AESN évoque clairement les motifs d'une éventuelle révocation de son président et la perte de confiance du premier ministre n'en fait pas partie. La tête de Tontchev est réclamée parce qu'il a appliqué la loi et pas parce qu'il est passé outre. Suivant cette même logique, c'est le gouvernement qui doit démissionner, vu qu'une grande partie des Bulgares ne lui font pas confiance", a indiqué Radev.
Le président de l’Assemblée nationale n’a pas le droit de décider de la tenue d’un référendum national. C’est ce qui a été établi par la décision de la Cour constitutionnelle relative au refus de l’ancienne présidente du Parlement, Natalia..
"Les jugements prononcés pour grande corruption ont jusqu'à présent été très limités. Il y a besoin d'un progrès durable contre les pratiques corruptives de haut niveau". C'est ce qu'a déclaré le commissaire européen en charge de la Justice, Michael McGrath..
Le chef de file de "Poursuivons le changement", Assen Vassilev a qualifié de "mauvaise plaisanterie" la nomination de Roumen Spetsov au poste d'administrateur spécial de "Lukoïl-Bulgarie". A ses dires, Spetsov a été nommé pour augmenter la..