Selon Rossen Jéliazkov, la vraie idée qui se cache derrière cette initiative présidentielle est de tenter de semer le doute au sein des institutions européennes qui préparent actuellement le rapport de convergence, devant sortir en juin, et d’empêcher la Bulgarie de rejoindre la zone euro en 2026. "C'est certainement un des objectifs non seulement du président, mais aussi d'une partie de la société, soumise à une sérieuse pression hybride, mais c'est aussi un business qui cherche à rester dans l'ombre", a indiqué le premier ministre. La proposition du président est contraire à la Constitution et au droit de l'Union européenne, a été formel Rossen Jéliazkov, qui a rappelé que le 11 mai 2005, l'Assemblée nationale a ratifié le Traité d'adhésion de la Bulgarie et la Roumanie à l'Union européenne, qui prévoit, entre autres, que le pays intègre l'Union économique et monétaire européenne. S'il avait fallu organiser un référendum, il aurait dû avoir lieu avant le 11 mai 2005, a ajouté le premier ministre.
"En tant que membre de l’Union européenne et alliée au sein de l’OTAN, la Bulgarie se déclare prête à prendre toute sa part dans la recherche de solutions garantissant la paix et la sécurité sur le Vieux continent". C’est ce qu’a souligné le Premier..
"Les flux de réfugiés et de migrants ne cesseront pas, alors que la Bulgarie ne dispose pas de politique unifiée nationale sur ces questions. Nous avons besoin d’une institution de premier plan qui coordonne tout le processus d’intégration. Le..
"La Bulgarie soutient fermement les efforts de l'Ukraine d'établir une paix juste et durable qui garantisse sa souveraineté et son intégrité territoriale". C'est ce qu'a déclaré le chef de la diplomatie bulgare, Georg Guéorguiev à l'inauguration de la 66e..