Après le roman "Le pays du passé", c'est la "Physique de la mélancolie" de Guéorgui Gospodinov qui vient de sortir dans sa version anglaise en Grande-Bretagne. A cette occasion, l'écrivain bulgare a donné une interview au "The Guardian" disant qu'un roman ne doit pas ressembler à un train qui circule entre le point A et le point B. Il peut aussi prendre des détours et dévier dans un sens ou l'autre comme la pensée humaine. Interrogé sur la Bulgarie comme un lieu d'écriture, Guéorgui Gospodinov a répondu que c'est un endroit chargé d'histoires qui dans la plupart des cas restent inconnues à cause de la culture du silence, héritée de l'époque du communisme lorsque la liberté d'expression était lourde de conséquences. Il a ajouté que c'est dans les années d'après 1989 que sont sorties ses premières publications, pleines d'énergie et de sentiment de partage, comme lors d'un carnaval.
Une tasse de café, une poignée de framboises et une vue à couper le souffle… Voilà une image qui a de quoi séduire... La pianiste Dilyana Hristova recherche ces endroits de sérénité en Bulgarie et à l’étranger où elle peut se laisser emporter par ses..
Il y a cinq ans, Nadejda Yordanova Damyanova, originaire de Varna, rejoint à Saint-Nazaire son mari qui travaille depuis 2014 aux Chantiers de l'Atlantique, le chantier naval où en 2018 a été construit le deuxième plus gros paquebot au monde, le..
Ce 3 avril, à 19H00, à la Galerie de l’Institut culturel bulgare à Paris, au 28, rue de la Boétie, sera présenté le film documentaire "MON NOM EST MINKO" en présence de la réalisatrice Vladina Tsekova et de l'illustre physicien et mécène bulgare. Le film..