Après le roman "Le pays du passé", c'est la "Physique de la mélancolie" de Guéorgui Gospodinov qui vient de sortir dans sa version anglaise en Grande-Bretagne. A cette occasion, l'écrivain bulgare a donné une interview au "The Guardian" disant qu'un roman ne doit pas ressembler à un train qui circule entre le point A et le point B. Il peut aussi prendre des détours et dévier dans un sens ou l'autre comme la pensée humaine. Interrogé sur la Bulgarie comme un lieu d'écriture, Guéorgui Gospodinov a répondu que c'est un endroit chargé d'histoires qui dans la plupart des cas restent inconnues à cause de la culture du silence, héritée de l'époque du communisme lorsque la liberté d'expression était lourde de conséquences. Il a ajouté que c'est dans les années d'après 1989 que sont sorties ses premières publications, pleines d'énergie et de sentiment de partage, comme lors d'un carnaval.
Ce 10 février, un office des défunts sera célébré à l’occasion du 6 ème anniversaire de la mort du père Dobri. Le service sera présidé par Polycarpe, l’évêque de Bélogradtchik, vicaire du patriarche bulgare Néophyte. Né en 1914 à Braylovo,..
"Rêverie", tel est l'intitulé de la toile de Georges Papazoff qui fait dorénavant partie de la collection permanente du Centre Pompidou à Paris. Une première entrée d'un artiste d'origine bulgare au Musée national français d'art moderne, comme..
Le nageur bulgare Tsanko Tsankov qui a participé aux marathons "Ocean Seven" les plus difficiles au monde, est un des nommés dans la catégorie "Homme de l'Année" par l'Organisation mondiale de natation en eaux libres, WOWSA. Rappelons qu'en août..